Presse écrite

Marseille avec des balades au frais “Art et pique nique”

On connaît Bénédicte Sire pour son inoxydable envie de partager son regard sur Marseille à travers des balades qui, urbaines, n’en sont pas moins originales, culturelles et rafraîchissantes.  La fraîcheur, justement, c’est le credo de celles qu’elle propose cet été,combinant art et pique-nique de chef,à Marseille. “J’ai toujours travaillé dans le cœur des villes, mais dans …

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En balade dans le Marseille de Giono et d’aujourd’hui

À pied, la balade se poursuit jusqu’à l’opéra dans lequel l’écrivain évoque un incendie de façon tragicomique. “Il y a bien eu un incendie à l’opéra le 13 novembre 1919 mais il n’y a eu ni morts ni blessés“, dit-elle, tandis que l’on autorise les marcheurs à pénétrer dans l’institution. Sur le plateau, on monte les décors de l’opéra Barbe-Bleue que la scénographe Chantal Thomas prend plaisir à expliquer. Friande de rencontres imprévisibles, Bénédicte Sire emmène ensuite ses visiteur

Marseille, sur les pas de Giono

On a coutume d’associer Giono à Manosque et aux paysages de la Haute-Provence. C’est oublier qu’il a vécu et travaillé à Marseille et que certains de ses écrits portent l’empreinte de cette expérience. Des textes assez peu connus, que l’artiste baladrice (ainsi se définit-elle) Bénédicte Sire fait découvrir au fil de la nouvelle balade urbaine qu’elle a conçue.

Marseille expo et balade sur la trace des repas antiques

Benjamin Grinda / LA MARSEILLAISE / 04/10/2019 | 09H30 (…) Pérégrination pour renouer avec notre passé ce samedi, une pérégrination urbaine sur les traces de nos gourmets antiques sera proposée par Bénédicte Sire, réalisatrice de films documentaires qui s’intitule elle-même « baladrice » : « J’explore un quartier, je fais du porte-à-porte et à partir de mes rencontres, je …

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Balade urbaine et gustative à la rencontre des habitants, vous venez ?

Connaissez-vous vraiment Noailles ? Pas moi. En tout cas, pas les entrailles de ce quartier surnommé le ‘’Ventre de Marseille’’. Il foisonne de personnages aux parcours de vie incroyables que Bénédicte Sire se plaît à incarner tour à tour. Ils viennent du Vietnam, du Cap Vert, de Djibouti, de Liban mais aussi de France… et ont déposé leur bagage à Marseille pour ouvrir un commerce de bouche. La comédienne – réalisatrice nous embarque pendant trois heures dans un tour du monde géo-poétique en sept étapes où l’on déguste à chaque fois des mets du pays d’origine. Avec moi dans ce périple, des Marseillais qui se plaisent à (re)découvrir leur ville. Allez, on vous emmène.

Liberation Strasbourg- Saint-Denis, balade composée

Façon originale de découvrir des villes, Bénédicte Sire propose de passer derrière les devantures des commerces. Au programme ce jour-là, le centre de la capitale, avec un petit déjeuner mauricien dans une galerie d’ex-chapeliers, des arts chinois ancestraux dans d’anciens lieux de perdition, une plongée dans l’histoire du music-hall, de la psychiatrie ou du dieu Ganesh…

Dimanche grande promenade sur la Canebière

Ses trouvailles (innombrables) font référence à la musique ou à la littérature. Dans ses repérages, ce sont les rencontres qui guident ses déambulations, elle tourne autour avant de tirer son intrigue truffée d’anecdotes comme un fil rouge, avec pour seul désir que « le public lâche prise et que les histoires des gens fassent écho à leur propre vie ».

Nutritive mise en scène à Noailles

Et puis, samedi midi, j’ai entendu ceci : « Se souvenir du bruit du clair de lune, lorsque la nuit d’été se cogne à la montagne, et que traîne le vent, dans la bouche rocheuse des Monts Liban. » Bénédicte Sire lit ce poème de Nadia Tueni, on imagine un paysage nocturne et de montagne, les deux boulangers écoutent avec nous, ils connaissent le Liban, ils y sont nés. Maintenant ils dirigent les Cèdres, rue d’Aubagne.

Trajectoires du bout du monde dans Noailles, le “ventre de Marseille”

Ils sont sénégalais, vietnamiens, nord-africains, tous commerçants à Noailles, le “ventre de Marseille”, où les ont propulsés les hasards de l’histoire coloniale et les guerres. Une comédienne invite à les rencontrer, au coeur de ce dédale, mi-halles, mi-bazar oriental. “Trajectoires”, la balade “aventureuse et gustative” de Bénédicte Sire, comédienne et réalisatrice, démarre chez Tam-Ky, une épicerie tenue par six frères et sœurs d’une fratrie qui en compte huit et dont les parents sont arrivés d’Hanoï à la fin de la guerre du Vietnam.

Arpenter l’Histoire des Marseillais…

Guerrière obstinée et souriante, la comédienne et réalisatrice Bénédicte Sire a imaginé à travers le coeur de Marseille différents parcours-spectacles. «Nomade interdisciplinaire et metteure en scène du réel», de rue en place, de maison en commerce, elle interroge les gens sur leurs origines, recueillant souvenirs et confidences. Elle s’en fait le relai, retraçant leur histoire pour des arpenteurs curieux. Et les histoires intimes se mêlent à la grande Histoire